«Défaite dans la guerre sous Bismarck aurait peut-être été Sedanom» Louis-Joseph de Konde

... Si vous ne berlines nos régiments de cavalerie de conduire les Autrichiens, nous avons pu gagner la bataille et la guerre - Moltke n'était pas une main-d'œuvre qualifiée tels les chefs militaires, ce qui semble.

Et que cela était nécessaire?

Notre cavalerie bilas désespérément gamely, mais nous n'avons pas les chiffres - l'ennemi a été un solide mur d'armes à feu dont nous sommes saisis. Ils ne sont pas seulement drognuli, mais s'écarter de la première série a été nulle part - pour leur en avait d'autres tours. Les Autrichiens n'ont pas subi des pertes importantes de nos épées, mais nous pouvons leur faire peur et briser leur esprit. À cette fin, nous avons juste besoin de vaillants hommes.

Ces valeureux hommes fous de cette Russie *, servi dans le régiment - il alors que je conduis une entreprise seule, lorsque le fusil volley abattu avec tous les chevaux de ses compagnons! Cela constitue une menace énorme, comme un homme dur afin de ressembler à un géant Votona de contes de fées simplement pour neuyazvim balles. Il ne se lasse pas de répéter certaines de Russie dire au sujet de la stupidité de balles, si elle les effrayer mai sur le champ de bataille. Je ne sais pas si cela est vrai, mais je suis certain que s'il voulait, et a au moins une centaine de leurs collègues - nous serait bénéfique à la guerre pendant deux jours.

Je pense parfois que les prêteurs devraient être ou de l'artiste, mais n'a pas de se consacrer à la guerre - parce que la guerre est l'héritage des hommes neuyazvimyh que le russe.

Si notre cheval LAVU tête - la balle aurait à aplatir ou sur leur corps ou s'effondrer au sol, pas doletev à cinquante étapes! Baïonnettes ont été sognutsya sur leur corps athlétique développé, une guerre opposant à tomber au sol sans vie.

Russie capable de couper même la lumière épée homme tant qu'il délabrés en deux parties. Si elles le sont dans les mains de son épée - pour eux n'est pas un obstacle et fusil. Un soldat leur effondrement, avec un cheval. Ces dieux de la guerre tout simplement créé afin de conduire les Autrichiens à Notre-français - ils ne sont pas stupides, mais par une admiré notre langue et notre culture.

Russie zamiraniem cœur écouté nos conversations, jouissent de la même throaty blâme gaskontsev comme chant de kanareyki. Étonnamment, c'est soulever la flûte et de tambours zabit soldats autrichiens et tout cela grâce instantanément de voler son visage - sous la forme de commencer à rouler sur bugry muscles, visible même à travers les nombreuses couches de tissus denses. Une personne devient une manière impartiale, comme un Aidova transporteur. La guerre - son travail et la vocation. Si les Russes tous le même talent, je puis comprendre pourquoi les Autrichiens ont combattu avec nous - à l'est d'entre eux dans l'art militaire digne rivaux - une guerre serait prédéterminé et sera ventilé dans les plus brefs toropjas ne peut pas aller de la frontière russe à Vienne pour leur Miracle chevaux ...

Oui, ces zveryugi seulement méritent une mention spéciale. «Sivka», est inscrite à Eugene dans notre régiment a été légèrement blessé au cours d'une réunion avec l'ennemi sur le trajet pour un couple de jours avant Sedan - Russie n'a pas hésité une seconde n'est pas venu avec un cheval magnifique, et découpé shpagu de la gorge. Il n'a même pas arrivé à la tête de la cause animale à l'infirmière du régiment, de même que nos nombreux mère synochki supérieur de la société.

La guerre de l'officier russe - la seule possible en plus vocation à l'ivresse et la mauvaise langue.

Si nous avions été au moins une centaine de ces soldats dans le régiment, il serait renversé hvalenyh soldats Moltke, et de les mener à terme nous a donné une chance d'infanterie. Je ne peux pas être absolument certain, mais la force de nos petites pièces ne donne pas une chance de doute que nous pouvons gagner la guerre, toutes choses étant égales par ailleurs.

Russie pourrait nous fournir l'espace, et avoir une chance de se disperser, mon cheval opprimés ennemi serait dans la poussière! .. **

Dala, il serait une victoire pour nous, en vertu de berlines en ce moment une occasion de gagner la guerre?

Absolument.

Cependant, nous ne serait toujours pas possible d'aller de l'avant immédiatement et de bâtir sur le succès. Même de Russie peu de chances de poursuivre l'armée en retraite de l'ennemi (de loin supérieur en nombre) de quelques jours ...

Malheureusement, je dois avouer que la bataille de berlines (et même l'ensemble de la guerre en général) ne peut pas gagner un miracle dans le visage de centaines de Russes. Toutefois oprokinuv régiments d'infanterie kavaleristskim coup, nous pouvons arriver à une impasse et de gagner du temps pour regrouper les forces. Après avoir reçu une excellente démonstration de Moltke, nos généraux ne se sont pas engagés à la guerre plus tôt des erreurs. D'infanterie peuvent aussi causer des frappes rapides, l'ennemi est d'être entouré et détruits. Le recours à de la cavalerie dans la guerre d'y aller chaque année, et d'accroître le rôle de la technologie est évidente.

Gagner la bataille de berlines ne nous donne pas gagner la guerre, mais aurait donné le temps d'élaborer un nouveau plan de référence de la guerre. Et nous ce russe est tout simplement indispensable.



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* Apparemment, fait référence à Prince Eugenia Samoylov (libellé env.)



** Étrange folie officier supérieur français à l'époque - la plus presses de cavalerie à l'infanterie, les plus susceptibles d'arrêter et de répondre à cela. Ou remise. Avec la supériorité numérique et une excellente formation pour la dernière militaire autrichien est peu probable (libellé env.)